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Iron Maiden: l’histoire

Par • 27 Sep, 2009 • Catégorie: Lead Story

Ce groupe culte du Métal valait bien une petite Chronique: la voici!!…Iron Maiden est un groupe de heavy metal britannique formé en 1975 au Royaume-Uni par le bassiste Steve Harris et son ami d’enfance Dave Murray. Ils furent les pionniers de ce qui fut appelé la New Wave Of British Heavy Metal (souvent abrégé en NWOBHM) avec les groupes Saxon, Def Leppard, Tygers of Pantang, etc. L’« ancienne vague » était représentée par Black Sabbath, Judas Priest et Motörhead. Iron Maiden a recueilli au cours de son histoire l’un des plus grands succès commerciaux du heavy metal, vendant plus de 70 millions d’albums.[1]

Leur longévité, leurs compositions puissantes et mélodiques, la diversité de leur discographie et surtout leur qualité de précurseurs du genre en ont fait l’un des groupes phares de la scène heavy metal.

Le nom du groupe se réfère à un instrument de torture médiéval, la vierge de fer et a été sujet de controverses, de même que leur mascotte, Eddie, sortie de l’imagination du dessinateur Derek Riggs, et que l’on peut voir sur une pochette commettant un attentat contre Thatcher, ou encore en train d’arracher une affiche la représentant, bien que les membres du groupe aient toujours nié que les dessins représentassent le premier ministre britannique.Iron Maiden a été formé le jour de noël en 1975 par le bassiste Steve Harris, bientôt rejoint par Dave Murray, guitariste.
Iron Maiden a été formé le jour de noël en 1975 par le bassiste Steve Harris, bientôt rejoint par Dave Murray, guitariste.

Durant les deux années qui suivent, le groupe change plusieurs fois de membres, excepté Harris et Murray, et joue des chansons influencées par Black Sabbath, UFO, Thin Lizzy ou Deep Purple. En 1978, le line-up est stabilisé par l’arrivée de Doug Sampson à la batterie et du chanteur Paul Di’Anno. Ce dernier apporte une attitude plus punk bien que la musique reste incontestablement heavy. Le groupe se forge une grande popularité au Royaume-Uni en parcourant tous les clubs du pays qui acceptent d’engager des formations de hard rock en pleine tempête punk. Les musiciens font la connaissance de Rod Smallwood, leur futur manager et « sixième membre » . En décembre 1978, le groupe enregistre enfin sa première démo, Soundhouse Tapes, éditée à 5000 exemplaires. Grâce au bouche à oreille, ce premier enregistrement s’arrache en quelques jours. En 1979, Clive Burr remplace Sampson et Dennis Stratton entre dans le line-up en tant que deuxième guitariste, un plus indispensable pour les compositions du groupe. Quelques mois plus tard, EMI, se basant sur le buzz autour des musiciens, signe un contrat pour quatre albums.
Iron Maiden

Ils entrent en studio et enregistrent leur premier vrai album, Iron Maiden qui prend aussitôt la 4e place du hit-parade britannique. Malgré une production très sommaire, on retrouve l’ensemble de tout ce que le groupe peaufine depuis des années et des centaines de concerts (Phantom Of The Opera, Remember Tomorrow, Iron Maiden, Prowler, etc.). Invité à Top Of The Pop, le quintette refuse de jouer Running Free en play-back et devient le premier groupe à jouer live depuis The Who en 1972.
Adrian Smith

Bien établi à domicile, le groupe ouvre aux États-Unis pour Judas Priest et en Europe pour Kiss, volant proprement la vedette à ces derniers. Puis Stratton est remercié et remplacé par Adrian Smith, un ami d’enfance de Dave Murray. Sur la pochette du maxi Sanctuary, Eddie poignarde Margaret Thatcher qui vient d’arracher une affiche annonçant un concert du groupe. La censure force l’illustrateur Dereck Rigg à recouvrir les yeux de sa victime d’un bandeau noir pour la rendre moins reconnaissable[2]. Pour le single suivant, Women In Uniform, la Dame de Fer a sa revanche. Cette fois c’est elle, placée en embuscade avec un fusil, qui attend la mascotte du groupe pour lui faire sa fête.
Killers

L’année suivante, le groupe sort Killers (no 11 GB, no 70 US), leur 2e album très attendu. Seules Killers, Prodigal Son, Genghis Khan, Purgatory et Murders In The Rue Morgue sont de nouvelles compositions, le reste faisant déjà partie du répertoire rodé sur scène depuis la fin des 70’s. Cette fois, le groupe a fait appel au producteur Martin Birch (Deep Purple, Whitesnake, Black Sabbath, etc.) pour obtenir un son bien plus clair et puissant. Iron Maiden entame sa première tournée mondiale, le Killers World Tour, qui mène le groupe pour la première fois de sa carrière au Japon suite à la tournée européenne et américaine.
Bruce Dickinson
Arrivée de Dickinson, The Number of the Beast et début du succès mondial
The Number of the Beast

En septembre 1981, Di’Anno est renvoyé du groupe pour cause d’abus de drogues et de son rejet de tout projet de longue tournée. Il est remplacé par Bruce Dickinson ex-Samson, qui se démarque de son prédécesseur par une voix plus mélodique et variée. Une tournée italienne de cinq concerts a lieu à la mi-octobre 81 pour présenter le nouveau chanteur et ainsi briser la glace. Dès ses débuts, le chant de Bruce eut les effets escomptés : l’album The Number of the Beast sort le 22 mars 1982 et connaît un succès international. L’album atteint la première position au Royaume-Uni et est certifié disque d’or aux États-Unis (no 1 GB, no 4 FR, no 33 US). Aux États-Unis, la réaction des milieux puritains contre la pochette « sataniste » du groupe lui vaut un bon coup de publicité. Les titres The Number of the Beast, Run to the Hills et Hallowed be thy Name s’imposent comme des classiques absolus, incontournables des rappels en concert. Le groupe amorce alors sa deuxième tournée mondiale, 179 concerts devant 1 million de spectateurs, le quintette s’aventurant cette fois également en Australie. À la fin de la tournée, Clive Burr, atteint d’une sclérose en plaques, doit quitter le groupe. Son successeur s’appelle Nicko McBrain, batteur autodidacte et ex-membre du groupe français Trust, qui faisait les premières parties des concerts d’Iron Maiden en France et qui verra d’ailleurs arriver Clive Burr en remplacement. Iron Maiden trouve ainsi sa formation la plus populaire qui restera inchangée jusqu’en 1990.
L’âge d’or et apogée internationale
Piece of Mind

Contrairement à l’album précédent, enregistré sous pression, le quatrième disque est conçu aux Bahamas dans un pub converti en studio. Surtout, les relations se détendent entre Harris et Dickinson qui sur la précédente tournée avaient tendance à se disputer la première place sur scène, l’un pour garder son leadership, l’autre pour affirmer sa présence. Le résultat est à la hauteur des espérances. En 1983 paraît Piece of Mind (no 3 GB, no 14 US). Production léchée, parties de guitares ultra mélodiques, batteur virtuose, chanteur en état de grâce et compositeur-bassiste génial, tout est là. Le second single, The Trooper, suffit à résumer l’impact de l’album au moment de sa sortie. Il contient aussi sa propre illustration. Il est certifié disque de platine aux États-Unis et en dépit d’une popularité qui y est encore relativement limitée, le groupe décide d’y monter sa première tournée des grandes arènes en tête d’affiche. Pari risqué mais qui fonctionne et inaugure une ère de prospérité pour le quintette aux États-Unis.
Powerslave

Poursuivant un plan de carrière défini par leur manager, le groupe ne s’accorde que quelques mois de repos avant de retrouver le chemin des studios et peaufiner son nouveau plan d’attaque : une tournée gigantesque de plus d’un an passant non seulement par les États-Unis, le Japon, l’Europe de l’Ouest et l’Australie mais aussi l’Amérique du Sud et certains pays de l’URSS, ce qui est alors peu courant. Elle prévoit un calendrier fixe de six concerts par semaine (impensable de nos jours) dans les plus grandes salles et stades du monde, le déplacement d’une infrastructure énorme dont des décors inspirés de l’Égypte antique. Nom de la bête : World Slavery Tour, du nom de l’album Powerslave (no 2 GB, no 21 US) qui sort en 1984. Cette fois, c’est un raz de marée qui fait entrer Iron Maiden au panthéon du rock. Avalanche d’or et de platine, tournée triomphale, passage au festival Rock In Rio, tout ça ne serait rien sans le principal : un album abouti, dont un titre tout particulièrement prendra le statut de grand classique, 2 minutes to midnight, mais aussi un morceau souvent considéré comme l’un de leurs chefs-d’œuvre, l’épique The Rime Of The Ancient Mariner qui s’étale sur 13 minutes et sera joué pendant toute la tournée.
Live After Death

Les quatre concerts de Long Beach Arena en Californie (50 000 spectateurs) sont enregistrés pour les besoins d’un album live. Paru en 1985, Live After Death (no 2 GB, no 19 US) s’impose comme un témoignage historique de ce long périple. Bruce Dickinson sort éreinté de la tournée et ne participera pas à l’écriture du prochain disque. Mais le groupe continue dans sa gloire avec cet album qui est un nouveau succès international avec toujours le même son dans le Heavy Métal qui plaît toujours autant dans n’importe quel pays du globe.
Somewhere in Time

Parvenu à un sommet de popularité, le groupe décide d’innover en rajoutant quelques touches électroniques à son nouvel opus, Somewhere in Time (no 3 GB, no 11 US), qui abandonne l’antiquité des pharaons pour le monde futuriste du film Blade Runner. Le thème servira d’introduction aux concerts de la prochaine tournée. Pour compenser l’effacement provisoire de Dickinson, Adrian Smith est appelé en renfort pour la composition. Il signe trois des morceaux majeurs de l’album, dont Wasted Years et Stranger In A Strange Land qui serviront de singles. Même s’il surprend certains fans, l’album connaît un succès équivalent au précédent et annonce déjà les évolutions du prochain. Une nouvelle et interminable tournée est mise en branle et occupe le groupe jusqu’à la mi-87.
Seventh Son of a Seventh Son

L’année suivante, Iron Maiden atteint le point culminant de sa carrière avec Seventh Son of a Seventh Son (no 1 GB, no 16 FR, no 12 US), concept album magistral où le groupe croise metal et rock progressif . Il apparaît comme l’achèvement d’une évolution entamée dés le premier album et qui a fait passer un modeste groupe de banlieusard londonien au statut de plus grand groupe de metal européen. 3 singles, Can I Play With Madness, The Evil That Men Do et The Clairvoyant se classent dans le Top Ten britannique. Cet album est souvent considéré comme le meilleur exemple de ce que peut donner la collaboration entre Harris, principal compositeur depuis les débuts et Smith et Dickinson dont l’implication s’est accrue avec le temps. En chauffe salle de la tournée US, on retrouve Megadeth puis Guns N’ Roses. En août, Iron Maiden est tête d’affiche de la plus grosse édition du festival Monsters Of Rock de Donington, devant 110 000 spectateurs. La journée est marquée par la mort de deux spectateurs pendant le set de Guns n’ Roses.
Janick Gers
Projets personnels, départ d’Adrian et premier échec
No prayer for the Dying

A la fin de la tournée, Bruce Dickinson se lance dans son premier album solo avec à la guitare un certain Janick Gers et part en tournée en solitaire. De son côté, Adrian Smith fait de même en formant le groupe ASaP (Adrian Smith and Project), avant de quitter Iron Maiden au début de l’année 1990. Entre temps, Gers est intronisé comme remplaçant de Smith. Iron Maiden sort un single initialement prévu pour l’album solo de Dickinson, Bring your daughter To The Slaughter. Le titre est no 1 en Angleterre et figure sur la B.O de Freddie 5. Parallèlement, le groupe édite la collection First Ten Years, une série de 10 doubles CD singles, correspondant à tous les 45 tours du quintette depuis ses débuts. Peu après sort l’album No Prayer for the Dying (no 2 GB, no 28 FR, no 17 US) un album qui possède un style quelque peu différent mais toujours très intéressant.
Fear of the Dark et départ de Dickinson
Fear of the Dark

Le groupe est alors conscient qu’il lui faut se ressaisir pour ne pas finir englouti comme une bonne partie des groupes des années 1980. Les temps changent, le Grunge de Nirvana s’apprête à exploser et une nouvelle génération de groupes de metal, Metallica en tête s’affirme avec un son beaucoup plus moderne. Iron Maiden sort un nouvel album en 1992 avec Fear of the Dark (no 1 GB, no 1 FR, no 12 US), annoncé par le single, Be Quick Or Be Dead. Malgré quelques chansons considérées par certains fans comme de moindre qualité et une tendance à lorgner vers AC/DC (From Here To Eternity), il présente deux nouveaux titres qui acquerront un statut de classique, Afraid To Shoot Strangers et surtout Fear Of The Dark. L’album se vend à 1 million d’exemplaires la semaine de sa sortie et permet d’attirer de nouveaux fans. L’été suivant, le groupe est une nouvelle fois tête d’affiche des Monsters of Rock dont la capacité est limitée à 75000 spectateurs pour des raisons de sécurité.

Début 93, le groupe annonce la sortie d’un album live en deux parties, A Real Live One (no 3 GB, no 106 US), consacré à la période 86-92 et A Real Dead One (no 12 GB, no 140 US) à 80-84. C’est à ce moment que Bruce Dickinson annonce qu’il quitte le groupe pour se consacrer à sa carrière solo. Mais il honore la deuxième partie de la tournée jusqu’à son terme. Le groupe clôt l’année avec un troisième album live, Live At Donington (no 23 GB) et l’avenir parait incertain.
Arrivée de Blaze et chutes des ventes
The X Factor

L’année suivante, le groupe présente à la presse son nouveau chanteur, Blaze Bayley, ancien chanteur du groupe Wolfsbane, à la voix plus grave et moins typique des années 1980. Après une longue attente, The X Factor (no 9 GB, no 11 FR, no 147 US) sort en 1995. Album radicalement différent, le succès commercial n’est pas vraiment au rendez-vous, bien qu’il contienne des morceaux jugés de bonne qualité comme Sign of The Cross, ou The Edge Of Darkness. Il en sort les singles Man On The Edge, Lord Of The Flies ainsi que Virus (Part I et II). Si le groupe maintient sa popularité en Europe, ce n’est pas le cas aux États-Unis où l’alternatif et le skate punk ont succédé au grunge et ont momentanément enterré le métal classique. Lors de la tournée, on constate que la voix de Bayley ne s’adapte pas à certains des classiques du groupe.
Virtual XI

En 1996, Harris gère la conception du premier best of du groupe, Best Of The Beast, qui sous son format 33 tours collector inclut les fameuses Soundhouse Tapes. Deux ans plus tard sort l’album Virtual XI (no 16 GB, no 12 FR, no 124 US) qui, malgré de bons morceaux, réitère le semi-echec commercial et confirme le déclin du groupe. À ce stade, l’ancien no 1 du métal britannique semble condamné. L’avenir en décidera autrement.
Le retour de Bruce et Adrian et renouveau dans le succès
Brave New World

Le 10 février 1999, Le groupe annonce dans un communiqué officiel le remplacement de Blaze Bayley par Bruce Dickinson, qui fait son retour après le succès de sa carrière solo. Il est accompagné par Adrian Smith, sans que cela entraine le départ de Jannick Gers. Le groupe évoluera donc avec 3 guitaristes, chacun étant à la fois rythmique et soliste. Après un long séjour en studio, les 6 musiciens accouchent en 2000 de l’album du grand retour, Brave New World (no 7 GB, no 3 FR, no 39 US). On retrouve modernisés les éléments progressifs qui avaient fait la réussite des plus grands disques de la formation (The Wicker Man). Les fans de la nouvelle génération adhèrent en masse et le groupe ressuscite aux États-Unis. La tournée permet de renouer avec les plus grandes salles et s’achève en 2001 en tête d’affiche du Rock In Rio devant 254 000 spectateurs.
Dance of Death

Désormais, le groupe enregistrera un album tous les 2 ou 3 ans, accompagné d’une tournée des stades de courte durée. Iron Maiden poursuit ainsi son retour en 2003 avec Dance of Death (no 2 GB, no 3 FR, no 18 US) et une nouvelle tête d’affiche à Donington. Le groupe s’affiche avec des directions plus complexes, avec des morceaux comme Paschendale, Journeyman, ou Dance of Death. Il est suivi d’un ènième live, Death on the Road (no 22 GB, no 14 FR), témoignage d’une tournée qui aura vu le groupe sous une présentation plus théâtrale qu’auparavant. Puis en 2005, sort un DVD The Early Days retraçant les débuts du groupes, s’en suit une tournée consacrée aux 4 premiers albums, qui se verra battre des records de vitesse pour la vente de billets. La formation entre d’ailleurs dans le club très fermé des groupes de hard rock à avoir rempli le Parc des Princes. Le succès est total, malgré l’anecdotique incident au Ozzfest d’Ozzy Osbourne (voir anecdotes), ses membres sont invités à laisser leurs empreintes de mains sur le Hollywood’s Rock Walk[3] du célèbre magasin de musique Guitar Center[4]. Ils se retrouvent ainsi inscrits dans la légende au côté de plus de 160 autres groupes ou artistes célèbres comme par exemple AC/DC, Aerosmith, Alice Cooper, B.B. King, Black Sabbath, Kiss, Jimi Hendrix, Queen ou encore Van Halen, Yes, ZZ Top, etc.
A Matter of Life and Death

En 2006, le groupe atteint de nouveaux sommets avec A Matter of Life and Death (no 4 GB, no 5 FR, no 9 US). Accueil unanime en passe de devenir tout simplement le plus gros succès du groupe, 26 ans après le premier album. Pour cette tournée, le groupe surprend le public, en jouant pour la première fois depuis leur 1er album l’intégralité du disque. Le show se termine avec seulement une poignée de vieux classiques (Hallowed Be Thy Name, Fear Of The Dark ou Iron Maiden). Une polémique se fait alors jour avec les fans qui lors de certains concerts brandissent des pancartes avec ce simple message : « Play classics ! ». Début de l’année 2007, le groupe, à peine sorti de la tournée précédente, annonce une nouvelle tournée en mars 2007. Lors de cette tournée Iron Maiden a joué en tête d’affiche au Desert Rock Festival de Dubaï le 9 mars 2007. Résultat du succès du dernier album dans la région : no 2 en Arabie Saoudite, une première pour un groupe de Rock. L’album se place à la même position en Inde, encore une première dans l’histoire du rock et là encore, un concert à lieu à Bangalore, premier concert de Rock en Inde d’une telle envergure. Le groupe eut des propositions pour Hong-Kong, Shanghai et Pékin, mais a décliné l’offre car les autorités chinoises leur interdisaient de jouer certains morceaux. En juin 2007, pour les 25 ans de The Number Of The Beast, le groupe entame une tournée des festivals dans laquelle ils jouent 4 chansons de ce dernier, dont le classique Children Of The Damned, 5 de A Matter of Life and Death et 6 classiques. Cette tournée est nommée A Matter Of The Beast Tour.

En 2008, le groupe se lance dans une tournée mondiale nommée Somewhere back in time. Ils passeront notamment en France, au Japon, aux États-Unis, en Angleterre et au Canada, pour un total de 2 millions de spectateurs.

En février 2009, Iron Maiden remporte le Brit Award (équivalent britannique des Victoires de la Musique) pour la meilleure prestation scénique 2008. Quelques mois plus tard, le groupe sort le DVD/Album Live « Flight 666 ». Cet album ne contient que des classiques joué dans les quatre coins du monde (de Tokyo a San Paolo)

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