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Iron Maiden: « The final frontier

Par • 16 Août, 2010 • Catégorie: Chroniques

Iron Maiden: « The final frontier»

Date de sortie : 16 août 2010

Label : EMI

Genre : heavy ?

Origine : Angleterre

Tracklisting

01. Satellite 15….The Final Frontier (8:40),
02. El Dorado (6:49),
03. Mother Of Mercy (5:20),
04. Coming Home (5:52),
05. The Alchemist (4:29),
06. Isle Of Avalon (9:06),
07. Starblind (7:48),
08. The Talisman (9:03),
09. The Man Who Would Be King (8:28),
10. When The Wild Wind Blows (10:59)

En bref :

Un premier single « eldorado » mi figue, mi raisin dévoilé en juin, le clip du morceau d’ouverture révélé à la mi juillet et qui sentait bon la science fiction, il ne m’en fallait pas plus pour m’attendre au pire  après le calamiteux « a matter of life and death ».

Et bien non, après quelques écoutes,je peux presque ranger mes craintes au placard et profiter ainsi de ces dix nouveaux titres proposés.

Un album de 10 titres pour 76 minutes.

Long ? ça dépend des morceaux

Un premier titre ( Satellite..) qui a vraiment du mal à faire démarrer la fusée qui décolle au bout de 4 minutes 30, on aurait pu s’en passer.

Pour le suivant, « eldorado », c’est du connu maintenant, je m’y suis fait, on reste dans le morceau passif.

Puis, un titre avoisinant les 5 minutes avec « mother of mercy » qui démarre tel un « no more lies » mais qui reste dans la continuité du début , on s’attend à une explosion, on aura juste droit à un bon refrain

« coming home », non il n’est pas encore temps de rentrer à la maison mais de profiter de cette très belle ballade à la « face in the sand » sur l’album « dance of death »

Pour « the alchemist », pas le temps de s’ennuyer, voilà un morceau qui démarre avec un bon riff, un bon couplet, un bon refrain et un bon solo : le potentiel prochain single de l’album.

Ensuite direction l’ « isle of avalon» qui reste dans la continuité de ce qu’on avait pu entendre sur « a matter of life and death », un morceau qui va crescendo. Un bon titre épique.

« starblind »,  sans doute un des titres les plus tristes de l’album et transcendé par la voix d’un Dickinson qui alterne grave et aigu.

Le suivant « the talisman », un titre magique et qui devrait porter bonheur au groupe, je lui souhaite, mon morceau favori sur cette nouvelle galette : guitare acoustique et une super intro de 2 min 20 avant que ça pète vraiment , énorme ! Bruce au sommet de sa forme.

Difficile de s’attendre à  mieux avec « the man who would be king », le titre suivant qui démarre tranquillement là encore avec un changement de rythme en plein milieu, surprenant et pas indispensable. Un titre qui aurait pu faire office de face b ou de  fin d’album.

C ‘était sans compter sur le dernier titre « when the wild winds blow » : une des perles de l’album.

Bien qu’il soit le titre le plus long, pas le temps de s’ennuyer au cours de la dizaine de minutes.

Un très beau conte pour clotûrer un opus qui aurait pu  rester moyen sans la présence du ou d’un des meilleurs chanteurs du circuit actuel.

Up the irons !  Up Dickinson !

Disponible en plusieurs formats :

 

 

Avis aux collectionneurs !

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